Préjudice de « frangins malades »
À la suite d’une fécondation in vitro, un couple a eu trois garçons, dont deux sont atteints d’une maladie génétique (myopathie de Becker).
À la suite d’une fécondation in vitro, un couple a eu trois garçons, dont deux sont atteints d’une maladie génétique (myopathie de Becker).
Le 11 mai 2017 à Quimper, naissait un enfant que ses parents voulaient prénommer Fañch comme son arrière-grand-père breton.
Un homme âgé de soixante-douze ans avait été placé sous curatelle renforcée pour une durée de cinq années, à la demande de sa fille.
Quelques mois plus tard, il a demandé au mandataire judiciaire à la protection des majeurs (curatrice) l'autorisation d'épouser une femme qu'il connaissait depuis quinze ans, devenue sa compagne un an avant son placement en curatelle.
En mars 2007, une femme, mère de trois enfants, avait signé un contrat d'assurance-vie désignant comme bénéficiaires ses héritiers.
En 1995, une enfant née. Elle est reconnue par son père en 2003. Les parents décident ensuite de se marier.
En 2011, après le divorce des parents, le père saisit la justice afin de contester sa paternité et demander à ce que l'enfant ne porte plus son nom mais uniquement celui de sa mère.